« Faîtes-moi une promesse… Non, deux promesses… Ne me touchez pas, ne me caressez pas, ne m’effleurez pas. Et promettez-moi de ne rien m’interdire ou m’empêcher quelque chose. Je vous en prie, Vladimir, mon amant terrible, mon Pygmalion qui me rend folle… Laissez-moi… vous offrir… ma tendresse… Ne faîtes rien, rien du tout… vos mains, vos caresses me chamboulent trop… Vous me le promettez ? »
« Je te le promets. Du moins, je te promets d’essayer… »
Si tes envies te portent vers le bonheur
Si tes rêves prennent mille couleurs
Ne te prive pas de ce nous possible !
Si le manque te fait peur
Non seulement celui du désir, mais celui du cœur
Laisse le comme un voile sur nos têtes, en suspens
Il nous tiendra confiants et vivants.
le désir n'exige rien, que de l'attention.
L'érotisme, l'amitié amoureuse n'ont besoin que d'être à deux :
Un homme et une femme !
Le désir érotique n'a besoin que de naître;
l'envie sexuelle n'a besoin que d'exister.
Le désir peut épanouir...et chaque minute l'envie apparaître...
« Oh…rien que par vos mots, vous me troublez…ils sont à mon cœur, à mon âme, une caresse, ils mettent mon corps dans une émotion que je ne peux pas contrôler, encore moins maîtriser.
Ne dîtes plus rien, ne me touchez pas, ne m’interdisez rien …
D’abord, je veux que vous soyez confortable, détendu…
Écartez vos jambes que je puisse me mettre entre elles sur mes genoux…
Je prends vos couilles dans mes deux mains… Tenez… un baiser sur le bout de votre sexe… Il s’éveille, mais il est encore à l’abri… vous aimez que je lèche votre prépuce ?
N’est-ce pas une bonne idée de m’être attaché les cheveux ? Non ? Ah bon, vous avez les yeux fermés… Alors, je vais vous raconter… Maintenant, je vous décalotte, tout doucement, très doucement, j’aime voir apparaître votre gland… il est rose, presque rouge, tout luisant…
J’espère que vous aimez sentir vos couilles dans ma main… Oui, je la vois bien cette petite peau qui attache votre prépuce à votre gland… Je mouille mon doigt… pour la caresser, l’effleurer… Oh, vous commencez à vous réveiller…vous bandez …vous bandez par moi…
Je tiens vos couilles, j’enferme votre verge dans ma main… … …
Sa langue excite mon frein, le titille, je respire longuement, je fixe mon attention sur le plafond, je détourne mon esprit des sensations qu’elle me procure…
« Maintenant, je vais vous branler, très lentement, je la tiens bien serrée, votre queue, votre belle queue qui grossit dans ma main, je vais jusqu’en bas, pour vous décalotter complètement, puis je remonte pour recouvrir votre gland, je recommence…et encore… il y a une petite goutte qui perle…je vais la prendre de la pointe de ma langue… il n’y en a pas assez pour que je découvre son goût…
Vous sentez que j’accélère le mouvement de ma main ? Je vous branle plus vite… oh que ça m’excite…
Votre queue devient ronde, si ronde… ohlala… non je ne vous dirai pas à quoi je pense… comme j’aime vous branler… et j’aime ce mot… l’utiliser pour vous… je ne l’ai jamais employé… même pour moi… je vous sens terriblement tendu… vos cuisses sont tendues, crispées… est-ce que je vais trop vite, est-ce que vous avez envie, très envie de jouir maintenant, je vous sens si tendu…ces gouttes qui sortent de votre gland… est-ce que je dois ralentir, m’arrêter ? Je n’ai pas envie de vous faire jouir tout de suite, je veux vous sentir languir, je voudrais vous entendre me dire…
Là, vous sentez, je ne bouge plus, je regarde votre sexe frémir… va-t-il se détendre tout seul ? Si je pouvais exprimer ce que je ressens en vous tenant comme ça, vos couilles, votre verge… je mouille, Vladimir, je me sens couler…
J’ai vécu tant d’années dans l’ignorance de cette sensualité, de cet état d’excitation qui me vrille la tête… J’ai une folle envie de vous prendre dans ma bouche… et j’en ai peur… si je le faisais mal… si je vous faisais mal… c’est ma hantise… vous décevoir, être nulle… Tout à l’heure, je vous ai sucé, j’ai bien senti… vous n’avez pas joui… c’est que je l’ai mal fait, ou pas comme vous aimez… mais je ne sais pas ce que vous aimez…ce que vous attendez… Dîtes-le moi…indiquez-moi… un mot… un geste… »
« Vous m’avez demandé de rester silencieux, de ne pas vous toucher… Faudrait savoir ! »
« Oui, je sais… je suis incohérente… mais je sais… je sais que je veux vous voir jaillir, je veux votre foutre, dans ma bouche, sur ma langue, dans mes mains… »
« Sachez, Ma Dame, que lorsque vous branlez un homme, son pénis est à manipuler avec précaution, il aime la tendresse, la patience, la lenteur et les variations.
Un homme vous confie ce qu’il a peut être de plus précieux à ses yeux ; cela donne à réfléchir…Encore qu’un homme, un vrai, ne s’identifie pas à son pénis… »
« Je ne branle pas ‘’un’’ homme, c’est vous que je branle, seulement vous…Je n’ai jamais caressé un homme comme çà… Vous débandez, votre sexe se recroqueville… Ouvrez les yeux, regardez-moi…que je voie dans votre regard… ce que vous attendez… Ouvrez les yeux… Vous le faîtes exprès…
Alors, tournez-vous, mettez-vous à plat ventre… Non attendez, que je puisse mettre un oreiller sous vous, sous votre ventre… Êtes-vous bien ? Votre cul, Vladimir, … votre cul, tout à moi…Savez-vous ce que je pense, là ? Non, bien sûr… si j’étais un homme, je crois que je voudrais avoir un cul comme le votre…des fesses rondes… vous aussi, vous avez la raie profonde… Ouvrez vos jambes, écartez vos cuisses, plus que cela… je veux vous voir offert, vous sentir prêt à vous abandonner à mes caresses,… comprendrai-je un jour pourquoi j’aime tant ouvrir vos fesses… Aimez-vous que je le fasse ?...»
Je savais sans savoir, dès qu’elle m’a mis sur le ventre… je sens alors sa langue parcourir mes fesses, elle lèche, laisse couler sa salive, ses mains pétrissant mes fesses comme elle l’a fait tout à l’heure, elle les écarte, place sa langue tout en haut de ma raie, descend lentement, plaquant sa langue, s’arrêtant une seconde sur ma rosette, je ne peux m’empêcher de réagir, je la contracte malgré moi…
elle ose me donner une petite tape sur la fesse, « Vous avez promis de ne rien m’interdire, de ne pas m’empêcher, c’est moi qui vous interdis de serrer les fesses et de fermer votre anus… »
Elle repose sa langue sur mon anus, puis descend lentement, arrive à cette zone sensible du scrotum, derrière laquelle se cache la prostate, la peau à cet endroit étant d’une sensibilité extrême, en tout cas chez moi. Le devine-t-elle ? Elle lèche longuement cette partie enfouie, puis rejoint mes couilles, je la sens les aspirer, les prendre dans sa bouche, pas tout à fait, elles sont volumineuses, mais elle les happe, les mordille, les suce, les lèche, elle prend un peu de peau entre ses lèvres, tire doucement dessus… Elle remonte lentement, ses mains écartent un peu plus mes fesses, je sens qu’elle fait couler sa salive sur ma rosette, elle joue de légèreté, puis elle plaque sa langue, poussant son visage autant qu’elle peut entre mes fesses, puis elle recommence, elle donne encore sa salive, pousse sa langue…
Soudain, elle change de position, se met à califourchon sur mon dos, reprend mes fesses entre ses mains, je sens qu’elle est penchée sur moi, son souffle me caresse, s’insinue entre mes cuisses, mes couilles perçoivent son souffle, elle replonge sa langue et se met à faire une danse folle tout autour de mon œillet, rentrant, sortant le bout de sa langue… Je ne puis empêcher mon corps de réagir, je bouge tout mon corps…
« Je vous chevauche, vous ne me désarçonnerez pas…je vous renifle, j’aime regarder votre anus frissonner, j’aime, j’aime çà… Soyez détendu, Vladimir… tout à l’heure, j’ai coupé l’ongle de mon index pour ne pas vous blesser… Arrêtez de bouger, de vous agiter ! Vous n’oserez pas me désarçonner… … sentez-vous ma chatte humide sur votre dos, je mouille encore de vous caresser…de ce que je vais vous faire, là, maintenant, tout de suite… je lèche encore mon doigt, ma salive a lubrifié votre anus, laissez mon autre main se glisser sous vous, je veux me saisir de votre queue…soulevez-vous un peu…je pose mon doigt sur votre rosette, le sentez-vous… je le gratte tout doucement, je le mouille à la salive qui coule…
Je vais prendre votre cul, Vladimir, je vais vous posséder, je vais vous enculer… Oh oui…vous vous détendez… Oui, si vous vous ouvrez, c’est que vous en avez envie, c’est que je ne vous fais pas mal… Je l’enfonce un peu, oh… je vous sens si vivant…à l’intérieur … oh merci… je mouille comme une folle, je vais jouir de vous enculer, c’est fou, mais fou…
Je veux encore plus … je veux plus de votre anus, je veux tout de votre cul… je veux vous entraîner à la même impudeur que la mienne… je veux vous faire gémir… Votre queue est toute mouillée elle aussi… Je vais vous donner encore plus de salive, elle coule entre mon doigt et vous… parce que je veux m’enfoncer au tréfonds de votre cul…non, non, ne vous contractez pas, ne vous fermez pas, vous n’avez pas le droit, vous avez promis…
Oh mon dieu, je ne crois pas en Dieu, oui, je sais, oh oui, je sens bien pourquoi vous vouliez vous refermer, m’empêcher d’aller plus loin… mais moi aussi j’ai le droit… moi aussi, mon amour, je voudrais vous faire péter de désirs, que mon doigt et ma langue vous oblige à m’offrir cela… je vous lèche pendant que je pousse mon doigt…votre cul est plein, je sais, oui et plein de mon doigt aussi.
Pourquoi je ne peux pas faire entrer ma langue en même temps ? Mais je sens les parfums de votre cul, je les aime, je les veux…
Là, là, je vous possède vraiment car vous vous abandonnez… je ne peux pas voir votre visage, votre expression…ce qu’il y a dans vos yeux… mais je suis si heureuse, exaltée… je n’aime pas mes mains, je vous l’ai dit, ni mes doigts que je trouvais trop longs…
Par vous, je vais les aimer, je crois, car ils s’avèrent assez longs pour aller loin en vous, loin, ils sont assez fins pour ne pas vous faire mal… Vous m’avez laissé faire… vous ne m’avez pas empêché de découvrir votre anus secret jusqu’à maintenant… je ne m’explique rien… je suis émue, terriblement émue, vous savez si bien me guider, m’entraîner… je me prends à aimer des choses impensables… J’espère que vous me direz, vous aussi… que vous ne serez pas gêné de me le dire… j’espère que vous aurez tellement aimé que c’est vous qui me demanderez de recommencer…
Mais vous n’avez pas joui…je n’ai pas réussi à vous faire jouir… C’est ma faute, j’en suis attristée.
Vous me direz pourquoi…ce que j’ai mal fait ou ce que je n’ai pas fait…
Moi à qui vous avez donné tant de plaisirs, tant de fois…cette jouissance inconnue jusqu’à aujourd’hui.
Je veux voir vos yeux, je veux lire dans votre regard … Je vais lécher encore votre anus, juste avant de retirer mon doigt… tout doucement…comme vous l’avez fait sur moi…c’était si exaltant et doux…
Votre rosette tressaille encore… Je n’avais que des tabous…je n’ai plus que des fantasmes…
J’ai l’impression… vous retenez mon doigt ? Est-ce votre envie ou un réflexe ? Ohhhhh… vous aussi alors… nous voici à égalité… Je vous aime pour votre pudeur…je vous aime pour votre abandon…
Retournez-vous…regardez-moi… voyez-moi heureuse par vous… Vos yeux, donnez moi vos yeux…
Prenez-moi dans vos bras… Oui… j’y suis tellement bien… Regardez mon doigt… Je le renifle… Je n’ai plus la moindre inhibition… Vous me faîtes tout voir comme la beauté de l’amour… Non, ne m’empêchez pas… Je veux garder les fragrances de votre anus… Je veux en goûter aussi les saveurs…
Vous me transportez, vous me transformez, vous m’avez fait naître Femme…Puissé-je rester votre muse, devenir votre fée… Dîtes-moi, vous, votre ressenti… Qu’ai-je mal fait pour ne pas vous avoir donné votre plaisir ? »