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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 17:01

« Faîtes-moi une promesse… Non, deux promesses… Ne me touchez pas, ne me caressez pas, ne m’effleurez pas. Et promettez-moi de ne rien m’interdire ou m’empêcher quelque chose. Je vous en prie, Vladimir, mon amant terrible, mon Pygmalion qui me rend folle… Laissez-moi… vous offrir… ma tendresse… Ne faîtes rien, rien du tout… vos mains, vos caresses me chamboulent trop… Vous me le promettez ? »

« Je te le promets. Du moins, je te promets d’essayer… »

Si tes envies te portent vers le bonheur
Si tes rêves prennent mille couleurs 
Ne te prive pas de ce nous possible !
Si le manque te fait peur
Non seulement celui du désir, mais celui du cœur
Laisse le comme un voile sur nos têtes, en suspens
Il nous tiendra confiants et vivants.

le désir n'exige rien, que de l'attention.

 L'érotisme, l'amitié amoureuse n'ont besoin que d'être à deux :

Un homme et une femme !

Le désir érotique n'a besoin que de naître;

l'envie sexuelle n'a besoin que d'exister.

Le désir peut épanouir...et chaque minute l'envie apparaître...

 

« Oh…rien que par vos mots, vous me troublez…ils sont à mon cœur, à mon âme, une caresse, ils mettent mon corps dans une émotion que je ne peux pas contrôler, encore moins maîtriser.

Ne dîtes plus rien, ne me touchez pas, ne m’interdisez rien …

D’abord, je veux que vous soyez confortable, détendu…

Écartez vos jambes que je puisse me mettre entre elles sur mes genoux…

Je prends vos couilles dans mes deux mains… Tenez… un baiser sur le bout de votre sexe… Il s’éveille, mais il est encore à l’abri… vous aimez que je lèche votre prépuce ?

N’est-ce pas une bonne idée de m’être attaché les cheveux ? Non ? Ah bon, vous avez les yeux fermés… Alors, je vais vous raconter… Maintenant, je vous décalotte, tout doucement, très doucement, j’aime voir apparaître votre gland… il est rose, presque rouge, tout luisant…

J’espère que vous aimez sentir vos couilles dans ma main… Oui, je la vois bien cette petite peau qui attache votre prépuce à votre gland… Je mouille mon doigt… pour la caresser, l’effleurer… Oh, vous commencez à vous réveiller…vous bandez …vous bandez par moi…

Je tiens vos couilles, j’enferme votre verge dans ma main… … …


 Sa langue excite mon frein, le titille, je respire longuement, je fixe mon attention sur le plafond, je détourne mon esprit des sensations qu’elle me procure…

« Maintenant, je vais vous branler, très lentement, je la tiens bien serrée, votre queue, votre belle queue qui grossit dans ma main, je vais jusqu’en bas, pour vous décalotter complètement, puis je remonte pour recouvrir votre gland, je recommence…et encore… il y a une petite goutte qui perle…je vais la prendre de la pointe de ma langue… il n’y en a pas assez pour que je découvre son goût…

                                             leche (Copier)

Vous sentez que j’accélère le mouvement de ma main ? Je vous branle plus vite… oh que ça m’excite…

Votre queue devient ronde, si ronde… ohlala… non je ne vous dirai pas à quoi je pense… comme j’aime vous branler… et j’aime ce mot… l’utiliser pour vous… je ne l’ai jamais employé… même pour moi… je vous sens terriblement tendu… vos cuisses sont tendues, crispées… est-ce que je vais trop vite, est-ce que vous avez envie, très envie de jouir maintenant, je vous sens si tendu…ces gouttes qui sortent de votre gland… est-ce que je dois ralentir, m’arrêter ? Je n’ai pas envie de vous faire jouir  tout de suite, je veux vous sentir languir, je voudrais vous entendre me dire…

Là, vous sentez, je ne bouge plus, je regarde votre sexe frémir… va-t-il se détendre tout seul ? Si je pouvais exprimer ce que je ressens en vous tenant comme ça, vos couilles, votre verge… je mouille, Vladimir, je me sens couler…

J’ai vécu tant d’années dans l’ignorance de cette sensualité, de cet état d’excitation qui me vrille la tête… J’ai une folle envie de vous prendre dans ma bouche… et j’en ai peur… si je le faisais mal… si je vous faisais mal… c’est ma hantise… vous décevoir, être nulle… Tout à l’heure, je vous ai sucé, j’ai bien senti… vous n’avez pas joui… c’est que je l’ai mal fait, ou pas comme vous aimez… mais je ne sais pas ce que vous aimez…ce que vous attendez… Dîtes-le moi…indiquez-moi… un mot… un geste… »

« Vous m’avez demandé de rester silencieux, de ne pas vous toucher… Faudrait savoir ! »

« Oui, je sais… je suis incohérente… mais je sais… je sais que je veux vous voir jaillir, je veux votre foutre, dans ma bouche, sur ma langue, dans mes mains… »

« Sachez, Ma Dame, que lorsque vous branlez un homme, son pénis est à manipuler avec précaution, il aime la tendresse, la patience, la lenteur et les variations.

Un homme vous confie ce qu’il a peut être de plus précieux à ses yeux ; cela donne à réfléchir…Encore qu’un homme, un vrai, ne s’identifie pas à son pénis… » 

« Je ne branle pas ‘’un’’ homme, c’est vous que je branle, seulement vous…Je n’ai jamais caressé un homme comme çà… Vous débandez, votre sexe se recroqueville… Ouvrez les yeux, regardez-moi…que je voie dans votre regard… ce que vous attendez… Ouvrez les yeux… Vous le faîtes exprès…

Alors, tournez-vous, mettez-vous à plat ventre… Non attendez, que je puisse mettre un oreiller sous vous, sous votre ventre… Êtes-vous bien ? Votre cul, Vladimir, … votre cul, tout à moi…Savez-vous ce que je pense, là ? Non, bien sûr… si j’étais un homme, je crois que je voudrais avoir un cul comme le votre…des fesses rondes… vous aussi, vous avez la raie profonde… Ouvrez vos jambes, écartez vos cuisses, plus que cela… je veux vous voir offert, vous sentir prêt à vous abandonner à mes caresses,… comprendrai-je un jour pourquoi j’aime tant ouvrir vos fesses… Aimez-vous que je le fasse ?...»

                                    allongé (Copier)     

 Je savais sans savoir, dès qu’elle m’a mis sur le ventre… je sens alors sa langue parcourir mes fesses, elle lèche, laisse couler sa salive, ses mains pétrissant mes fesses comme elle l’a fait tout à l’heure, elle les écarte, place sa langue tout en haut de ma raie, descend lentement, plaquant sa langue, s’arrêtant une seconde sur ma rosette, je ne peux m’empêcher de réagir, je la contracte malgré moi…

elle ose me donner une petite tape sur la fesse, « Vous avez promis de ne rien m’interdire, de ne pas m’empêcher, c’est moi qui vous interdis de serrer les fesses et de fermer votre anus… »

 

Elle repose sa langue sur mon anus, puis descend lentement, arrive à cette zone sensible du scrotum, derrière laquelle se cache la prostate, la peau à cet endroit étant d’une sensibilité extrême, en tout cas chez moi. Le devine-t-elle ? Elle lèche longuement cette partie enfouie, puis rejoint mes couilles, je la sens les aspirer, les prendre dans sa bouche, pas tout à fait, elles sont volumineuses, mais elle les happe, les mordille, les suce, les lèche, elle prend un peu de peau entre ses lèvres, tire doucement dessus… Elle remonte lentement, ses mains écartent un peu plus mes fesses, je sens qu’elle fait couler sa salive sur ma rosette, elle joue de légèreté, puis elle plaque sa langue, poussant son visage autant qu’elle peut entre mes fesses, puis elle recommence, elle donne encore sa salive, pousse sa langue…

Soudain, elle change de position, se met à califourchon sur mon dos, reprend mes fesses entre ses mains, je sens qu’elle est penchée sur moi, son souffle me caresse, s’insinue entre mes cuisses, mes couilles perçoivent son souffle, elle replonge sa langue et se met à faire une danse folle tout autour de mon œillet, rentrant, sortant le bout de sa langue… Je ne puis empêcher mon corps de réagir, je bouge tout mon corps…

 

« Je vous chevauche, vous ne me désarçonnerez pas…je vous renifle, j’aime regarder votre anus frissonner, j’aime, j’aime çà… Soyez détendu, Vladimir… tout à l’heure, j’ai coupé l’ongle de mon index pour ne pas vous blesser… Arrêtez de bouger, de vous agiter ! Vous n’oserez pas me désarçonner… … sentez-vous ma chatte humide sur votre dos, je mouille encore de vous caresser…de ce que je vais vous faire, là, maintenant, tout de suite… je lèche encore mon doigt, ma salive a lubrifié votre anus, laissez mon autre main se glisser sous vous, je veux me saisir de votre queue…soulevez-vous un peu…je pose mon doigt sur votre rosette, le sentez-vous… je le gratte tout doucement, je le mouille à la salive qui coule…

Je vais prendre votre cul, Vladimir, je vais vous posséder, je vais vous enculer… Oh oui…vous vous détendez… Oui, si vous vous ouvrez, c’est que vous en avez envie, c’est que je ne vous fais pas mal… Je l’enfonce un peu, oh… je vous sens si vivant…à l’intérieur … oh merci… je mouille comme une folle, je vais jouir de vous enculer, c’est fou, mais fou…

Je veux encore plus … je veux plus de votre anus, je veux tout de votre cul… je veux vous entraîner à la même impudeur que la mienne… je veux vous faire gémir… Votre queue est toute mouillée elle aussi… Je vais vous donner encore plus de salive, elle coule entre mon doigt et vous… parce que je veux m’enfoncer au tréfonds de votre cul…non, non, ne vous contractez pas, ne vous fermez pas, vous n’avez pas le droit, vous avez promis…

Oh mon dieu, je ne crois pas en Dieu, oui, je sais, oh oui, je sens bien pourquoi vous vouliez vous refermer, m’empêcher d’aller plus loin… mais moi aussi j’ai le droit… moi aussi, mon amour, je voudrais vous faire péter de désirs, que mon doigt et ma langue vous oblige à m’offrir cela… je vous lèche pendant que je pousse mon doigt…votre cul est plein, je sais, oui et plein de mon doigt aussi.

Pourquoi je ne peux pas faire entrer ma langue en même temps ? Mais je sens les parfums de votre cul, je les aime, je les veux…

Là, là, je vous possède vraiment car vous vous abandonnez… je ne peux pas voir votre visage, votre expression…ce qu’il y a dans vos yeux… mais je suis si heureuse, exaltée… je n’aime pas mes mains, je vous l’ai dit, ni mes doigts que je trouvais trop longs…

Par vous, je vais les aimer, je crois, car ils s’avèrent assez longs pour aller loin en vous, loin, ils sont assez fins pour ne pas vous faire mal… Vous m’avez laissé faire… vous ne m’avez pas empêché de découvrir votre anus secret jusqu’à maintenant… je ne m’explique rien… je suis émue, terriblement émue, vous savez si bien me guider, m’entraîner… je me prends à aimer des choses impensables… J’espère que vous me direz, vous aussi… que vous ne serez pas gêné de me le dire… j’espère que vous aurez tellement aimé que c’est vous qui me demanderez de recommencer…

Mais vous n’avez pas joui…je n’ai pas réussi à vous faire jouir… C’est ma faute, j’en suis attristée.

Vous me direz pourquoi…ce que j’ai mal fait ou ce que je n’ai pas fait…

Moi à qui vous avez donné tant de plaisirs, tant de fois…cette jouissance inconnue jusqu’à aujourd’hui.

Je veux voir vos yeux, je veux lire dans votre regard … Je vais lécher encore votre anus, juste avant de retirer mon doigt… tout doucement…comme vous l’avez fait sur moi…c’était si exaltant et doux…

Votre rosette tressaille encore… Je n’avais que des tabous…je n’ai plus que des fantasmes…

J’ai l’impression… vous retenez mon doigt ? Est-ce votre envie ou un réflexe ? Ohhhhh… vous aussi alors… nous voici à égalité… Je vous aime pour votre pudeur…je vous aime pour votre abandon…

Retournez-vous…regardez-moi… voyez-moi heureuse par vous… Vos yeux, donnez moi vos yeux…

Prenez-moi dans vos bras… Oui… j’y suis tellement bien… Regardez mon doigt… Je le renifle… Je n’ai plus la moindre inhibition… Vous me faîtes tout voir comme la beauté de l’amour… Non, ne m’empêchez pas… Je veux garder les fragrances de votre anus… Je veux en goûter aussi les saveurs…

Vous me transportez, vous me transformez, vous m’avez fait naître Femme…Puissé-je rester votre muse, devenir votre fée… Dîtes-moi, vous, votre ressenti… Qu’ai-je mal fait pour ne pas vous avoir donné votre plaisir ? »

                                       baiserdoux (Copier)

 

 

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 14:13
Une page blanche peut être riche d'avenir si on se laisse aller à la noircir à quatre mains... dans le silence étourdissant des marées qui nous submergent
ELLE
Monsieur…
LUI
oui, dites-moi
ELLE
Je n'ose vous dévoiler
LUI
Vous n'osez « me » dévoiler ? Ou vous dévoiler à moi ?
ELLE
Ne recommencez pas à me perdre dans vos jeux de mots !
LUI
Je ne veux pas vous perdre puisque mon désir est de vous trouver…
ELLE
Voilà… Je voudrais…
LUI
Non, pas voilà, mais voici !
ELLE
Arrêtez !
LUI
Oui, mais continuez
ELLE
Souvent, bien souvent, trop souvent, dans le tumulte des marées  qui viennent inonder mes nuits,
Je rêve que vous et moi nous  noircissions une, deux, trois, dix pages blanches…
LUI
Voulez-vous dire que vous rêvez que nous maculions de nos pensées toutes ces pages vierges qui nous attendent ?
ELLE
Oui, oh oui, je veux que vous me froissiez de vos mots et moi, j'aspire à vous griffer des miens
LUI
Soit… Offrez-moi les orages grondant dans votre âme …
ELLE
M'offrirez-vous ce que vous cachez dans la cage de vos désirs enfouis ?
LUI
Qui peut prédire ce qu'il adviendra de ce jeu épistolaire si proche de devenir une saynète ?
Commencez donc…
ELLE
Je viendrai poser mes lèvres sur votre nuque puis dans votre cou, je respirerai votre… parfum 
Non, je préfère parler au temps présent puisque c'est d'un proche futur qui pointe à notre horizon
LUI
Soit, Madame, faites-vous Femme, Femelle, Petite Chatte, soyez celle que vous revendiquez dans le silence de vos envies tonitruantes... 
ELLE
je collerais mon visage au creux de votre couje me collerais à vous pour sentir la chaleur de vous 
LUI
Vous continuez au conditionnel maintenant ? Je regrette votre recul…
ELLE
Je ne recule pas, Monsieur, j'avance, et à grands pas, pendant que vous trottinez…
Je colle alors mes mains sur vos yeux et je colle mes envies aux votre, je laisse la vague de mes désirs couler en votre marécage
LUI
Soit…Oui, vous sentir, contre moi.....au travers de vos vêtements ceux que vous avez choisis pour me retrouver.......ce jour-làpour ce Présent de Nous, en nos Folles dimensions de Désir... pour ce présent de nous, en nos folles et pures dimensions si tendrement sauvages...
ELLE
J'aime ce que vous me proposez et m'offrezvos mots, votre façon de m'attirer, m'exalter, par vos images, en osant me dire ce que vous ressentez
LUI
oui, j'ai envie de vous sentir au sommet de vos rêveries, collant sur mon dos vos impatiences... 
ELLE
venir dans votre dos et mettre mes bras autour de vous
LUI
il s'agit de nous, de notre intimité tellement riche et complice... ce quotidien, Sorcière.....tel que vous me l'offrez, si intimement, tel que je vous l'offre 
ELLE
Je rêve depuis si longtemps que vous sentiez ma poitrine gonflée et dure dans votre dosmes mains qui glissent sur votre torse par dessus votre chemise 
LUI
oui, je vous renifle, en frissonnant de la présence de votre visage dans mon cou, qui me renifle aussi
ELLE
Merveilleuses pages blanches qui deviennent rouge sang…sentir ce parfum doux et chaud de nos envies 
LUI
oui, vous avez envie, vous êtes Prête......à vous livrer, à vous offrir....vous vous êtes même ap-Prêtée, Pré-Parée à cette offrande extrême 
ELLE
D'abord de nos yeux, après l'avoir fait grâce à nos mots, puis se découvrir de nos mains de nos lèvres, de nos peaux l'une contre l'autre 
LUI
je sens votre ventre, se raffermir, contre moi, vos cuisses chercher les miennes, pour se plaquer... 
ELLE
mettre une de vos jambes entre les miennes, me frotter à vousvous caresser de ma poitrine 
LUI
vous frottez vos seins contre moi, qui provoquent en moi, des bouffées d'envies, de vous prendre, de vous assaillir, presque brutalement... 
ELLE
Oh oui, soyez tendrement brutal, sentez mes seins tendus pour vous Monsieur … si j'osais… je demanderais, maintenant une vraie claque sur mes fesses… Marquez votre autorité…
LUI
je vous observe, je vous découvre,  oui, vous allez me les montrer..........doucement me les offrir, dans la corbeille de vos mains douces 
ELLE
oui Monsieurque vous puissiez les caresser de vos lèvres et de vos mainsdoucement, tendrement
LUI
vous allez d'abord vous défaire, pour me les montrer... 
ELLE
je déboutonne mon chemisier 
LUI
je veux vous regarder faire cela, lentement, longuement 
ELLE
vous les découvrez petit à petit 
LUI
oui, dans vos dessous intimes 
ELLE
ils pointent sous mon chemisier à travers mon soutien gorge 
LUI
défaites complètement votre chemisierje veux vos épaules nues, je fais glisser le chemisier sur vos bras, mais gardez-le ainsi......à mi-bras
ELLE
entendu, j'aime le jeu que vous me suggérez… je le laisse ainsi pour que vous puissiez me regardervoir ma poitrine gonflée sous le désir qui monte, sous l'excitation mentale que vous me soumettez… Juste avant qu'à mon tour, je vous ordonne d'obéir à mes envies…
LUI
oui, puis de mes doigts vous effleurant, je viens faire glisser une bretelle de votre soutien-gorge... je découvre ces dessins, des contrastes avec votre peau... plongeant mon regard dans le Votre je découvre ce qui se passe en vous, dans notre silence
vous allez vous montrer...et me montrer...ce que nous vivons ensemble...puisque nous le désirons ensemble...
ELLE
mon sexe coule...de Vous, déjà, et vous, Monsieur, coulez-vous? laissez le couler sur mes seins
LUI
je ne jaillis pas encore, Madame. je perle...
ELLE
Alors, laissez le perler sur ma poitrine
LUI

... ... ...

ELLE
laissez votre trace sur moi... Oh, si j'osais...Monsieur... déjà, Vous me faîtes fantasmer...
LUI
oui, mais pas tout de suite… je veux d'abord que vous me donniez votre culotte...que vous la retiriez devant moi...ainsi entravée et défaite,
ELLE
je la retire et vous la donneje suis nue devant vousofferte à vos désirs
LUI
oui, en vous fixant, je la porte à mon visage...
ELLE
OUI !
LUI
pour découvrir Vos Parfums, Vos humeurs de Femelle chaude...
ELLE
ma culotte est mouillée du désir que vous avez fait monter en moi… A mon tour maintenant, tendez-moi votre boxer, laissez votre complice découvrir vos fragrances intimes
LUI
en portant ce fin textile choisi par vos soins le matin même pour ce moment...
je parcours ce coton, de mon nez, de ma bouche, caressant mes joues, mes lèvres...
ELLE
un ensemble gris et bleu en dentelleoui respirez moi...
Vous regarder renifler mes dentelles m'excite diablement, Monsieur
LUI
je m'enivre de chacun de ces parfums...
ELLE
et moi de vous voir faire…
LUI
de Vous, de l'émotion vécue....je m'approche de vousface à Vous...vous voyant nue, ainsi défaite dans mes regards, dans mon regard d'Homme, chaud et brûlant
ELLE
approchez vous, je veux entendre votre respiration
LUI
mon visage toujours dans ce délicat coton...
ELLE
Approchez vous plus, vous dis-je, je veux à mon tour découvrir vos parfums,vérifier que vous coulez pour moi, par moi,
Laissez-moi vous dénuder, Monsieur, soyons égaux...
LUI
Egaux? L'égalité érotique est un leurre, Madame
ELLE
Eh bien, soit, je me leurre peut-être mais, Monsieur, cette queue que je sens tendue n'est pas un leurre...Donnez-moi votre boxer, je vous prie, je veux à mon tour renifler vos dessous...
Branlez vous, Monsieur, pendant que je découvre vos parfums... oui j'aime que vous le fassiez pour moi… Décalottez-vous, je veux voir votre gland rubicond… et qu'ensemble nous franchissions le Rubicon des interdits…
LUI
de mon pied, je viens entre les vôtres, pour vous inviter, vous forcer à les écarter...
devinant votre sexe trempé, vos lèvres gonflées, mon regard plongeant sur Vous, enveloppant, ne perdant rien de ce qui se passe en Vous...
ELLE
oui faites mais continuez de vous branler, j'aime vous savoir dur, fier, chaud et voir votre gland décalotté m'émeut… Cela aiguise mon envie de me saisir de votre queue et de vous branler avec la plus douce perversité…
LUI
vous êtes déséquilibrée...je vous observe frissonner
ELLE
vous m'appréciezje frissonne d'envie de vous avoir contre moide sentir votre queue si dure
LUI
Ma queue si dure, dîtes-vous, n'a rien à envier à votre sexe inondé de désirs
ELLE
oui j'aime continuez, collez moi contre le mur, forcez moiappuyez vous sur moi
LUI
je vous sens tenter de vous dérober tout autant que trouver le maximum de contact de votre ventre avec le mien...mes mains se font enveloppantes...ne permettant plus qu'à votre bassin, de s'animer...je vous veux vraiment femelle, Madame... 
ELLE
enveloppez moi de vos mains de votre corps, je me frotte à vous comme une chatte
LUI
vous ne méritez pas encore cette enveloppe attendue...en vous observantvous êtes trempée et je le sens à mes doigts que vous inondez
ELLE
oui je le suis, trempée de vos écrits; de vos paroles; de mes pensées vers vous
LUI
branlez-vous...de ces pensées, de vos En-Vies de Femelle
ELLE
je me branle, Monsieur, mes doigts sont en moitout mouillés
LUI
Ô Madame...
ELLE
je sens le plaisir monter
je suis emportée dans le plaisir ouile plaisir de vous sentir près de moivenez à moi, contre moi frottez vousvenez en moi, je vous veux partoutdans tous mes orificesje m'offre à vous;  en femme, en chienne...
LUI
je vous veux femme et femelleélégante et salope
ELLE
Et moi je vous veux mon guide autant que mon amant, mon Maître exigeant autant que mon complice…
A présent, mon ami, vous allez offrir à votre complice, à votre Galatée tout autant que maîtresse, un plaisir ineffable, vous allez enfin me laisser vous posséder comme je le désire depuis des mois, vous allez enfin, maintenant, tout de suite, séance tenante, me déclarer que vous êtes prêt et impatient de vous abandonner à mes envies
LUI :
Ma Dame, avez-vous conscience de toutes ces belles pages blanches que nous venons de remplir ?
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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 14:12
Que serait une page sans les mots? Blanche ou vierge ?
Sur une page vierge nous écrivons...
Et je me vois, feuille blanche
Froissé par ses doigts inquiets,
Et elle se voit feuille vierge
Et la voici griffée par ma plume...
Marécages...
Marées...
Mes visions cette nuit,
Marécages de pensées-désir,
Ses visions-moiteur
Moiteurs profondes,
Marées
Tantôt pierre s'enfouissant dans le trou de la nuit,
Tantôt comète se perdant à l'infini
Ainsi était-elle...
Ainsi sera-t-elle...
Ainsi soit-elle...
En surface rien ne bouge...
Dormirions-nous l'un près de l'autre ?
Devinerais-je, dans mon sommeil,
Dans votre odyssée répétée chaque nuit,
Ces orages grondant dans ce ventre abandonné à la nuit ?
Marécages de nos nuits,
Marées battant nos corps à l'infini.
Marées de ce réel immobile...
Marées, retenues en cage,
Dans la quiétude de l'aube,
Pour les encager dans cet écrit...
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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 16:18

J'adorerais te faire venir et vois-tu j'aimerais que tu viennes...

J’aimerais tant que tu aimes tant me faire venir

Et que ton excitation soit au paroxysme de te sentir sur le point de venir…

Quand ? Où ? Comment ?

Quand tu pourras venir, je te ferai venir et ainsi tu viendras...

Quand tu ne pourras plus ne pas venir

Et que tu sauras que je suis sur le point de venir

Tu ne sauras plus où tu souhaites que je vienne…

Entre tes mains, entre tes seins, devant tes yeux

Si tu ne peux venir alors... alors comment te faire venir ?

Mais si tu tardes tant à me faire venir, comment, à mon tour, te faire revenir ?

En te disant comment il serait doux que tu viennes ??

En t’écoutant me répéter combien tu aimais me faire par toi venir

Que je te rappelle comment venir est si bon...

Que tu te souviennes combien ne pas venir est douloureux

Surtout pour venir près de moi... ?

Près de toi, c’est évident, sur toi, sous toi, en toi

A moins que vous ne veniez...

comment vous demander de venir ?

Mais vous n’êtes plus dans ce désir de venir à moi, par moi

En vous l'ordonnant ???

Peut-être en vous souvenant…

Comment je vous ordonnais d’être

En vous en priant ?

J'adorerais... oui... te faire venir...

Je déteste ce conditionnel …

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 11:19

« Oui, ma puce, d’abord, je ne suis pas flatteur. La flatterie est hypocrite. Je ne suis pas plus de la catégorie des ces flagorneurs qui distribuent des opinions dithyrambiques… Oui, je suis simplement sincère, spontané ; je te l’ai dit : tes fesses me plaisent, elles sont rondes, non, elles sont rebondies, musclées, tes hanches sont évasées mais pas trop…bref, bref… si tu as mauvais goût, tant pis pour toi, peut-être arriverai-je à te les faire aimer…»

« Je n’avais jamais vu … mon petit trou… je le découvre… avec vous ! »

« Alors, là, tu fais erreur… je l’ai découvert avant toi ! »

« Vous aimez prendre vos maîtresses en photo ? Des photos aussi… indiscrètes ? »

« Ne t’occupe pas du passé, Valérie. Le passé est le poison du présent et ne sert à rien pour le futur.  Mets à profit le jour présent sans croire au lendemain

Hâte-toi de jouir du présent sans penser à demain,  a dit Horace

Et ne te retourne pas sur le jour qui vient de s’enfuir ni sur les précédents

ils ne peuvent qu’entraver ta marche en avant. Cela s’appelle ‘’carpe diem’’, petite amie,

et c’est une philosophie que j’applique depuis des lustres…

Il faut toujours s’évertuer à n’être pas jaloux du passé… et je sais qu’on a tous, peu ou prou, cette faiblesse… La jalousie est un sentiment humain, je ne le nie pas, mais lorsqu’on s’y laisse prendre, on ne peut qu’en souffrir car la jalousie a un effet pervers : on se retourne sur le temps passé et cela suffit à bloquer notre temps présent et celui à venir.

Je te le répète, la jalousie est un poison quotidien.

Oui, je suis d’accord, si ta bouche est jalouse de ce que j’offre à tes fesses,

oui, je comprends que ton sein gauche jalouse son voisin,

oui, je peux même comprendre que tu deviennes jalouse de ce que je fais ou ferai sans toi,

mais garde toi d’être jalouse de ce que j’ai pu vivre avant toi.

Du peu que je connais de toi, de ta vie, mais de tout ce que je pressens de toi,

tu as depuis longtemps, peut-être depuis toujours le cœur qui boite un peu
et aussi toujours le rire à fleur de larmes.
Mais tu as au fond de toi la tendresse pas consumée ni consommée
Tu as aussi, à ton insu le regard et l’âme en attente du beau
tu as passé ton temps à attendre, tu as le goût amer du temps qui fuit,
de l'espace qui s'évade trop vite, du mouvement de la vie à retenir.
Inconsciemment, tu essayais de jongler encore un peu avec les mille possibles de l'attente…

Tu ne sais pas comment jeter loin de toi cette boule que tu as au tréfonds de toi qui te tord la vie. »

                                                                      violette

« Comment pouvez-vous savoir tout cela de moi ? Je suis emplie d’émotion, c’est tellement vrai, c’est exactement ce que je ressens depuis … depuis trop d’années… cette boule qui fait si mal parfois, cette boule qui me bloque la gorge quand je veux pleurer et ne le peux pas…Vous m’avez fait pleurer, plusieurs fois aujourd’hui, non hier, si, aujourd’hui et hier… Là, j’ai envie de pleurer car vous me faîtes heureuse, vous me réconciliez avec moi, vous m’offrez votre regard sur la vie… Interdisez-moi dorénavant de la regarder autrement qu’au travers de votre prisme… Vous êtes Mon Sage… o comme j’ai raison de voir en vous mon Maître de vie. »

 

« Oh non, je ne suis pas un Sage…et, au fond, ne le souhaite pas vraiment. Même si j’en suis à ma seconde vie… mais si, je te l’assure, crois-le puisque je te le dis !!! Apprends qui je suis, mes origines, mes spécificités. Je suis d’origine slave par mon ascendance paternelle et complètement français par ma mère ; la folie slave et l’esprit cartésien dans le même vieux bonhomme… Tu parles d’un cocktail !

Le cosaque est un slave. Comme tous les slaves, il est extravagant à ses heures, romantique par nature. A l'origine, les Cosaques étaient sur les bords du Dniepr. Ils servirent de guide pendant longtemps... Faut-il alors s'étonner que je revendique mon ascendance ? !!!
Faut-il s'étonner que j’aime à guider, TE guider ?

J’ai beaucoup vécu, pas mal vécu; mais je suis encore tout étonné de ma soif de découvertes.
Même si l'on peut dire que j'ai peut-être tout découvert... Mais qui pourrait le prétendre?

Ne sois pas étonnée par la cérébralité exacerbée que je porte en bandoulière tout autant d'ailleurs que par mon érotisme exacerbé. 
Tu as peut-être deviné comment j’aime à vivre mes désirs.
Pour moi, le sens des nuances devrait être notre septième sens ! J'aime les mots, j'ai besoin des mots.
Des mots parlés. Des mots écrits. Je ne suis pas un automate sexuel. Ni une bête de sexe.
Mon sexe ne vit que par la vigueur de mon esprit; de mon érotisme; dont le siège est justement dans mon esprit. Et "tout cela" n'existe pas vraiment sans une énorme dose de tendresse, exprimée ou indicible. Tu ne dois pas, jamais, douter de ma tendresse, même s’il m’arrive de te gronder ou t’engueuler, même si je dois te fesser fermement… Ah oui, c’est vrai, tu m’as dit tellement aimer…

Bon, je trouverai autre chose ! »

« Je vais faire une croix sur tous mes agendas… Vous avez fait, vous faîtes de ce jour le plus beau, le plus fort, le plus fou… mais aussi le plus inattendu, le plus inespéré de mes jours. Je ne veux même pas réfléchir à la folie, à la vitesse vertigineuse qui m’a poussée à m’abandonner à vous, je ne veux que tenter d’appliquer ‘’carpe diem’’ auquel vous m’exhortez.

Je désire appartenir à une seule personne ...Vous

Je désire obéir à une seule personne ... Vous

Je crois en vous et j’ai confiance en vous. »

 caresse fesse (Copier)

« As-tu compris que je fuis les demi-mesures ? As-tu senti que je déteste la médiocrité, les relations en demi-teinte ? Je sais que je suis exigeant, parfois trop exigeant peut-être ; mais je ne vais pas changer à mon âge ! Rien n’est beau que le vrai, rien n’est vrai que nos élans, rien n’est beau si cela ne nous prend pas la tête et le corps.

« J’affronterai vos exigences, je les désire, je sens que c’est ainsi que je vais ‘’grandir’’. Si je ne parviens pas immédiatement à y répondre, reprenez-moi, éduquez-moi… modelez-moi ! »

 

« Reprenons des forces… vite, le petit déjeuner… c’est encore un peu tôt ? »


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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 11:17

« A quelle heure servent-ils le petit déjeuner ici ? J’ai une faim… On devrait dormir un peu…Il doit être vers 5 heures…»

« Je ne sais pas exactement… à partir de 7 heures je crois… hier, je suis descendue à 8 heures environ prendre un café et un yaourt. Moi aussi j’ai faim… Et encore faim de vous ! »

«  Je déteste devoir m’habiller et descendre pour le petit-déjeuner ! Je te donnerai un p’tit déj digne de ce nom.»

« Je n’ai pas envie de dormir ! Mais, endormez-vous près de moi, j’aime l’idée de vous regarder dormir.

Prêtez-moi votre téléphone, j’ai envie de vous prendre en photo… le mien me semble compliqué, je ne sais pas m’en servir pour les photos. »

Je lui souris, attrape mon téléphone, l’allume, le mets en position appareil, lui montre où appuyer.

« Ne fais pas n’importe quoi… »

« N’importe quoi ? Je vous veux sous toutes les coutures…Et pour les regarder, je fais comment ? »

« Tu les regarderas avec moi… »

 

Je me tourne sur le côté, en chien de fusil, je ferme les yeux, me demandant comment je vais pouvoir m’endormir avec elle si près…

 

Combien de temps me suis-je assoupi ? C’est le tout petit bruit d’obturateur que fait mon téléphone qui me tire de ma somnolence. Je me retrouve sur le ventre, cela m’arrive souvent dans mon sommeil, même si je sais que je bouge peu. Je prends garde de ne pas remuer, je la sens toujours à côté…

J’ouvre discrètement un œil, j’aperçois vaguement à la luminosité de la chambre que le jour ne va pas tarder à poindre. Je reste encore à faire semblant de dormir.

J’entends encore qu’elle prend deux ou trois photos. Je me demande combien de photos elle a prises…

Je m’étire…

« Vous ne dormez plus ? C’est moi qui vous ai réveillé ? J’ai pourtant fait attention… »

Je me retourne… me frotte les yeux, m’ébouriffe les cheveux…

« Combien de temps ai-je dormi ? »

« Très peu, trop peu, à peine une demi-heure. »

« Qu’avez-vous fait ? Où êtes-vous allée ? »

« Je ne suis allée nulle part !!! Je suis toujours où j’étais quand vous vous êtes endormi… J’ai pris des photos…de vous, de vous dans ma chambre, de vous sur mon lit, de vous qui êtes entré dans ma vie.

Mais je n’ai pas pu prendre toutes les photos que je voulais. Il m’en manque énormément… »

« Faîtes voir… je vous soupçonne d’avoir profité du moment… »

« J’aurais bien voulu… vous dormiez… mais je vais me rattraper… Vous l’avez bien fait, vous, tout à l’heure… et je veux les voir… »

« Ne dîtes pas ‘’je veux ‘’… Je voudrais est mieux approprié… N’est-ce pas ? »

« Oui, Monsieur … »

Et elle éclate de rire !!!

Je regarde la galerie de photos ; elle en a pris une dizaine. Très vite, je suppose, quand j’étais sur le côté, elle a trouvé toute seule comment zoomer, la maligne, au vu d’une photo sur mon ventre en gros plan… mais ce qu’elle cherchait à immortaliser était presque totalement caché…

Mon visage, de profil, le droit… Puis, ensuite, quand je me suis retourné, un cliché en plan large, un de mes épaules, deux ou trois de mes fesses, un en très gros plan, on ne voit que la raie de mes fesses !!!

Elle a dû par moments se servir de la lampe de chevet, si j’en juge les ombres…

Je lui souris…

« Bon, ça peut aller, pas de quoi te gronder… »

« Faîtes-moi voir… Ce n’est pas très réussi… Et celles que vous avez prises de moi ? »

 

« Oh… vous avez osé…. vous exagérez quand même… vous aimez vraiment mes fesses ? Vous êtes sincère ? »

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 08:49

Il faut que je retrouve mon souffle intérieur. Que je calme mon épiderme. Il faut que je reprenne le pouvoir sur mon corps qu’elle a embrasé.

« Attendez, sorcière… Je dois calmer mon émotion. »

« Non, non, ne calmez rien du tout, donnez-moi vos émotions telles que vous les avez là… Ne me vouvoyez pas… Je crains toujours de vous avoir déplu quand vous ne me tutoyez plus. »

« Vous avez osé… vous avez transgressé toutes les règles… Tu as été… la douceur incarnée. Tu as été, du moins je le crois, tu as été toi-même, celle que tu n’as jamais rencontrée, sûrement, tu ne te connaissais pas… »

« Vous vous trompez, je n’ai jamais eu la moindre idée, la plus petite sensation que j’étais ou avais été cette femme passionnée, à la sensualité exacerbée, …

« Arrête de m’interrompre si tu veux savoir ce que j’éprouve !

Oui, je n’ai pas joui. Tu ne m’as pas fait jouir. Tu n’as pas su me donner le plaisir de jouir. Et ce n’est pas vraiment ta faute. Tu étais tellement impatiente de provoquer ma jouissance. Tes caresses, pourtant, m’ont enflammé, j’ai infiniment aimé te regarder me branler, puis fermer les yeux pour mieux apprécier…et tenter de retarder l’explosion… Je sentais que tu aimais me branler.

Toi qui n’as jamais donné de fellation, toi dont la bouche était toute vierge, toi qui en avais peur jadis,

tu m’as merveilleusement léché… Là encore, tu voulais tellement que je jaillisse par toi… Peut-être m’as-tu trop…sollicité… au fond, je ne sais pas précisément…

Mais sais-tu…non, tu ne sais pas, bien sûr… Cela faisait des heures et des heures que je bandais, débandais puis rebandais… pour débander à nouveau…L’influx nerveux au niveau du sexe est étrange…

Et il ne faut pas ignorer l’influence du cérébral.

Tu n’as absolument rien fait de mal, je dirais plutôt que tu as tout fait très bien… Il se trouve qu’à un certain degré de paroxysme, le sexe masculin ne réagit pas toujours aussi facilement que celui de la femme. Et le tien réagit à merveille…o combien… tu as joui je ne sais combien de fois… ce qu’un vieil homme tel que moi est incapable de faire !!!

« Arrêtez, ah non, je vous interdis de dire que vous êtes un vieil homme… Vous êtes, pour moi, l’homme, en majuscules. Je me fous bien que vous jouissiez trois fois ou quatre ou je ne sais combien, ce n’est pas ce que je veux. Vous êtes et vous resterez l’homme qui m’a faite femme.»

                                                                      

« Et pourtant…ça compte le nombre des années ! Surtout sexuellement chez un homme, la femme peut jouir trois fois de suite à 80 ans !

Ce que tu dois savoir, ma puce, ma muse, ma sorcière, ma branleuse, ma pisseuse, ma lécheuse, c’est que chez un homme, enfin je n’en sais trop rien pour les autres mâles de la planète… c’est que les connexions, non pas les connexions, disons les inter-connexions entre l’anus et le sexe sont étranges.

Tu m’as branlé, doucement, plus fermement, lentement, puis plus vite, longtemps, je me suis retenu autant que je pouvais… mon érection a baissé… puis est revenue… Aurais-je dû me laisser jouir ? Bon, je ne l’ai pas fait… Et puis, et puis … tu as voulu t’occuper de mon cul… Et tu as été…étonnante… Le mot est faible… Et tous les mots que tu disais, que je ne pouvais pas ne pas entendre, tous ces mots que tu m’as offerts m’excitaient presqu’autant que ce que tu faisais… oui, je sais, cela t’excitait aussi de les prononcer, de verbaliser ce que tu me faisais, ils te servaient, ces mots, à souligner que tu me possédais aussi par les mots, pas seulement par ta langue, par tes doigts…

J’avais compris, quand tu étais allée te nouer les cheveux, j’avais entendu le bruit du coupe-ongles…

Et cette délicatesse m’avait troublé, ému…

                                                                     femdoigt (Copier)

Je ne peux pas te dire, en tout cas pas maintenant, c’est trop frais, ce que j’ai vraiment ressenti quand ta langue fouillait mon antre… j’ai failli ne pas tenir ma promesse, t’interdire d’aller plus loin quand j’ai senti ton doigt prendre la relève… quand je me suis senti, en effet, enculé par ton doigt, j’essayais de faire le vide… je me disais … ‘’mais elle est en train de m’enculer, elle s’enfonce, elle va sentir…’’  Je n’avais pas mal, du tout, je me suis laissé aller… Tu l’as senti je crois…

Et maintenant, tu es là, contre moi, tes cheveux me chatouillent, ton sourire me ravit, … ton doigt… donne-moi ton doigt… que je le renifle… ohlala…non, que fais-tu… tu le lèches, tu me le donnes à lécher… tu le reprends…

« C’est la première fois qu’une femme vous fait cela comme çà ? Vous ne dîtes rien… vous savez bien que pour moi, tout est une première… Vous me le direz ? Tout à l’heure ? Demain ?

Maintenant, tout de suite, je veux vous faire jouir, très vite, je veux que vous crachiez votre foutre, pour moi…Vous ne pouvez pas ne pas avoir envie… dîtes-moi, dîtes-moi que vous voulez jouir, et jouir par moi… Dîtes-moi que vous attendez mes caresses, ma bouche… »

Elle est bouleversante dans sa spontanéité ; se rend-elle compte à quel point elle pourrait paraître dévergondée aux yeux de n’importe qui ? Pourquoi lui cacher, pourquoi ne pas lui dire en effet combien j’ai envie de cette jouissance… J’en ai les couilles dures, presque douloureuses… 

« Oui, ma coquine, oui ma séductrice, j’ai envie, extrêmement envie de jouir par vous. Vous êtes belle dans cet aveu impudique. Oui, j’ai une folle envie d’être le premier homme que tu vas lécher avec plaisir et émotion. »

                                                                       branle-1 (Copier)

«  Je vous branle, mon amant, je branle votre queue, oh oui, vous bandez… faîtes moi un signe, dîtes-moi un mot quand vous serez au bord, votre queue se raidit, elle grossit, je titille votre frein, attendez… je veux lécher cet anneau, autour de votre gland… titiller votre frein en même temps… la veine sur votre queue est gonflée… je vous branle plus vite, je vous décalotte à fond, je ne veux pas que vous jouissiez ailleurs que dans ma bouche, même si j’ai envie que vous le fassiez dans mon cul, dans mon vagin, ce soir, je veux que vous me défloriez, je veux communier avec vous en recevant votre foutre… Venez, venez… je vous veux …donnez-moi… oui … oui…ça vient, je le sens… »

 

Long silence, que nos respirations haletantes.

 

« Merci, merci… Je ne suis plus vierge… merci… j’ai tant aimé… votre foutre a un goût de noisette…

C’est merveilleux… j’ai eu la sensation de vous posséder en avalant votre semence et, en même temps je me suis sentie totalement à vous… Mon Maître d’amour… Je t’appartiens désormais. »

 

Nous retombons littéralement sur le lit, enchevêtrés, essoufflés, elle, recroquevillée sur mon ventre.

Elle a repris ma verge entre ses lèvres, la tenant d’une main, elle fait courir doucement sa langue sur mon prépuce qui remplit de nouveau sa mission protectrice…

Je l’attire dans mes bras. Elle irradie. Ses yeux tirés pétillent.

Nous sommes l’un comme l’autre dans l’émotion, de façon sans doute différente, émotion tant cérébrale que physique. Je libère ses cheveux et les tisse de ma main, je caresse sa joue, comme pour la bercer. Nous redescendons lentement des nimbes du plaisir…

                                                                     erot (Copier)

« Si vous saviez comme je me félicite… vous me félicitez aussi ? Quelle extraordinaire idée d’être venue me reposer à Fécamp…et cette idée, c’est moi qui l’ai eue ! Et je me félicite aussi d’avoir eu envie de faire pipi, juste quand vous y étiez… Ne suis-je pas formidable ? … Vous pourriez me féliciter quand même… ! »

« Quel bonhomme formidable je suis… d’avoir été séché mon short juste avant que vous ne veniez… Vous pourriez me féliciter chaleureusement et me remercier et tout et tout… »

 

Nous nous sourions en même temps… J’embrasse ses lèvres…

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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 11:40

 

« Faîtes-moi une promesse… Non, deux promesses… Ne me touchez pas, ne me caressez pas, ne m’effleurez pas. Et promettez-moi de ne rien m’interdire ou m’empêcher quelque chose. Je vous en prie, Vladimir, mon amant terrible, mon Pygmalion qui me rend folle… Laissez-moi… vous offrir… ma tendresse… Ne faîtes rien, rien du tout… vos mains, vos caresses me chamboulent trop… Vous me le promettez ? »

« Je te le promets. Du moins, je te promets d’essayer… »

Si tes envies te portent vers le bonheur
Si tes rêves prennent mille couleurs 
Ne te prive pas de ce nous possible !
Si le manque te fait peur
Non seulement celui du désir, mais celui du cœur
Laisse le comme un voile sur nos têtes, en suspens
Il nous tiendra confiants et vivants.

le désir n'exige rien, que de l'attention.

L'érotisme, l'amitié amoureuse n'ont besoin que d'être à deux :

Un homme et une femme !

Le désir érotique n'a besoin que de naître;

l'envie sexuelle n'a besoin que d'exister.

Le désir peut épanouir...et chaque minute l'envie apparaître...

 

« Oh…rien que par vos mots, vous me troublez…ils sont à mon cœur, à mon âme, une caresse, ils mettent mon corps dans une émotion que je ne peux pas contrôler, encore moins maîtriser.

Ne dîtes plus rien, ne me touchez pas, ne m’interdisez rien …

D’abord, je veux que vous soyez confortable, détendu…

Écartez vos jambes que je puisse me mettre entre elles sur mes genoux…

Je prends vos couilles dans mes deux mains… Tenez… un baiser sur le bout de votre sexe…

Il s’éveille, mais il est encore à l’abri… vous aimez que je lèche votre prépuce ?

N’est-ce pas une bonne idée de m’être attaché les cheveux ? Non ? Ah bon, vous avez les yeux fermés… Alors, je vais vous raconter… Maintenant, je vous décalotte, tout doucement, très doucement, j’aime voir apparaître votre gland… il est rose, presque rouge, tout luisant…

J’espère que vous aimez sentir vos couilles dans ma main… Oui, je la vois bien cette petite peau qui attache votre prépuce à votre gland… Je mouille mon doigt… pour la caresser, l’effleurer… Oh, vous commencez à vous réveiller…vous bandez …vous bandez par moi…

Je tiens vos couilles, j’enferme votre verge dans ma main… … …

Sa langue excite mon frein, le titille, je respire longuement, je fixe mon attention sur le plafond,

je détourne mon esprit des sensations qu’elle me procure…

 

« Maintenant, je vais vous branler, très lentement, je la tiens bien serrée, votre queue, votre belle queue qui grossit dans ma main, je vais jusqu’en bas, pour vous décalotter complètement, puis je remonte pour recouvrir votre gland, je recommence…et encore… il y a une petite goutte qui perle…je vais la prendre de la pointe de ma langue… il n’y en a pas assez pour que je découvre son goût…

Vous sentez que j’accélère le mouvement de ma main ? Je vous branle plus vite… oh que ça m’excite…

Votre queue devient ronde, si ronde… ohlala… non je ne vous dirai pas à quoi je pense… comme j’aime vous branler… et j’aime ce mot… l’utiliser pour vous… je ne l’ai jamais employé… même pour moi… je vous sens terriblement tendu… vos cuisses sont tendues, crispées… est-ce que je vais trop vite, est-ce que vous avez envie, très envie de jouir maintenant, je vous sens si tendu…ces gouttes qui sortent de votre gland… est-ce que je dois ralentir, m’arrêter ? Je n’ai pas envie de vous faire jouir  tout de suite, je veux vous sentir languir, je voudrais vous entendre me dire…

Là, vous sentez, je ne bouge plus, je regarde votre sexe frémir… va-t-il se détendre tout seul ? Si je pouvais exprimer ce que je ressens en vous tenant comme ça, vos couilles, votre verge… je mouille, Vladimir, je me sens couler…

J’ai vécu tant d’années dans l’ignorance de cette sensualité, de cet état d’excitation qui me vrille la tête… J’ai une folle envie de vous prendre dans ma bouche… et j’en ai peur… si je le faisais mal… si je vous faisais mal… c’est ma hantise… vous décevoir, être nulle… Tout à l’heure, je vous ai sucé, j’ai bien senti… vous n’avez pas joui… c’est que je l’ai mal fait, ou pas comme vous aimez… mais je ne sais pas ce que vous aimez…ce que vous attendez… Dîtes-le moi…indiquez-moi… un mot… un geste… »

 

« Vous m’avez demandé de rester silencieux, de ne pas vous toucher… Faudrait savoir ! »

 

« Oui, je sais… je suis incohérente… mais je sais… je sais que je veux vous voir jaillir, je veux votre foutre, dans ma bouche, sur ma langue, dans mes mains… »

« Sachez, Ma Dame, que lorsque vous branlez un homme, son pénis est à manipuler avec précaution, il aime la tendresse, la patience, la lenteur et les variations.

Un homme vous confie ce qu’il a peut être de plus précieux à ses yeux ; cela donne à réfléchir…Encore qu’un homme, un vrai, ne s’identifie pas à son pénis… »

« Je ne branle pas ‘’un’’ homme, c’est vous que je branle, seulement vous…Je n’ai jamais caressé un homme comme çà… Vous débandez, votre sexe se recroqueville… Ouvrez les yeux, regardez-moi…que je voie dans votre regard… ce que vous attendez… Ouvrez les yeux… Vous le faîtes exprès…

Alors, tournez-vous, mettez-vous à plat ventre… Non attendez, que je puisse mettre un oreiller sous vous, sous votre ventre… Êtes-vous bien ? Votre cul, Vladimir, … votre cul, tout à moi…Savez-vous ce que je pense, là ? Non, bien sûr… si j’étais un homme, je crois que je voudrais avoir un cul comme le votre…des fesses rondes… vous aussi, vous avez la raie profonde… Ouvrez vos jambes, écartez vos cuisses, plus que cela… je veux vous voir offert, vous sentir prêt à vous abandonner à mes caresses,… comprendrai-je un jour pourquoi j’aime tant ouvrir vos fesses… Aimez-vous que je le fasse ?...» 

Je savais sans savoir, dès qu’elle m’a mis sur le ventre… je sens alors sa langue parcourir mes fesses, elle lèche, laisse couler sa salive, ses mains pétrissant mes fesses comme elle l’a fait tout à l’heure, elle les écarte, place sa langue tout en haut de ma raie, descend lentement, plaquant sa langue, s’arrêtant une seconde sur ma rosette, je ne peux m’empêcher de réagir, je la contracte malgré moi… elle ose me donner une petite tape sur la fesse,

 « Vous avez promis de ne rien m’interdire, de ne pas m’empêcher, c’est moi qui vous interdis de serrer les fesses et de fermer votre anus… »

 

Elle repose sa langue sur mon anus, puis descend lentement, arrive à cette zone sensible du scrotum, derrière laquelle se cache la prostate, la peau à cet endroit étant d’une sensibilité extrême, en tout cas chez moi. Le devine-t-elle ? Elle lèche longuement cette partie enfouie, puis rejoint mes couilles, je la sens les aspirer, les prendre dans sa bouche, pas tout à fait, elles sont volumineuses, mais elle les happe, les mordille, les suce, les lèche, elle prend un peu de peau entre ses lèvres, tire doucement dessus… Elle remonte lentement, ses mains écartent un peu plus mes fesses, je sens qu’elle fait couler sa salive sur ma rosette, elle joue de légèreté, puis elle plaque sa langue, poussant son visage autant qu’elle peut entre mes fesses, puis elle recommence, elle donne encore sa salive, pousse sa langue…

Soudain, elle change de position, se met à califourchon sur mon dos, reprend mes fesses entre ses mains, je sens qu’elle est penchée sur moi, son souffle me caresse, s’insinue entre mes cuisses, mes couilles perçoivent son souffle, elle replonge sa langue et se met à faire une danse folle tout autour de mon œillet, rentrant, sortant le bout de sa langue… Je ne puis empêcher mon corps de réagir, je bouge tout mon corps…

 

« Je vous chevauche, vous ne me désarçonnerez pas…je vous renifle, j’aime regarder votre anus frissonner, j’aime, j’aime çà… Soyez détendu, Vladimir… tout à l’heure, j’ai coupé l’ongle de mon index pour ne pas vous blesser… Arrêtez de bouger, de vous agiter ! Vous n’oserez pas me désarçonner… … sentez-vous ma chatte humide sur votre dos, je mouille encore de vous caresser…de ce que je vais vous faire, là, maintenant, tout de suite… je lèche encore mon doigt, ma salive a lubrifié votre anus, laissez mon autre main se glisser sous vous, je veux me saisir de votre queue…soulevez-vous un peu…je pose mon doigt sur votre rosette, le sentez-vous… je le gratte tout doucement, je le mouille à la salive qui coule…

Je vais prendre votre cul, Vladimir, je vais vous posséder, je vais vous enculer… Oh oui…vous vous détendez… Oui, si vous vous ouvrez, c’est que vous en avez envie, c’est que je ne vous fais pas mal… Je l’enfonce un peu, oh… je vous sens si vivant…à l’intérieur … oh merci… je mouille comme une folle, je vais jouir de vous enculer, c’est fou, mais fou…

Je veux encore plus … je veux plus de votre anus, je veux tout de votre cul… je veux vous entraîner à la même impudeur que la mienne… je veux vous faire gémir… Votre queue est toute mouillée elle aussi… Je vais vous donner encore plus de salive, elle coule entre mon doigt et vous… parce que je veux m’enfoncer au tréfonds de votre cul…non, non, ne vous contractez pas, ne vous fermez pas, vous n’avez pas le droit, vous avez promis…

 

Oh mon dieu, je ne crois pas en Dieu, oui, je sais, oh oui, je sens bien pourquoi vous vouliez vous refermer, m’empêcher d’aller plus loin… mais moi aussi j’ai le droit… moi aussi, mon amour, je voudrais vous faire péter de désirs, que mon doigt et ma langue vous oblige à m’offrir cela… je vous lèche pendant que je pousse mon doigt…votre cul est plein, je sais, oui et plein de mon doigt aussi.

Pourquoi je ne peux pas faire entrer ma langue en même temps ? Mais je sens les parfums de votre cul, je les aime, je les veux…

Là, là, je vous possède vraiment car vous vous abandonnez… je ne peux pas voir votre visage, votre expression…ce qu’il y a dans vos yeux… mais je suis si heureuse, exaltée… je n’aime pas mes mains, je vous l’ai dit, ni mes doigts que je trouvais trop longs…

Par vous, je vais les aimer, je crois, car ils s’avèrent assez longs pour aller loin en vous, loin, ils sont assez fins pour ne pas vous faire mal… Vous m’avez laissé faire… vous ne m’avez pas empêché de découvrir votre anus secret jusqu’à maintenant… je ne m’explique rien… je suis émue, terriblement émue, vous savez si bien me guider, m’entraîner… je me prends à aimer des choses impensables… J’espère que vous me direz, vous aussi… que vous ne serez pas gêné de me le dire… j’espère que vous aurez tellement aimé que c’est vous qui me demanderez de recommencer…

Mais vous n’avez pas joui…je n’ai pas réussi à vous faire jouir… C’est ma faute, j’en suis attristée.

Vous me direz pourquoi…ce que j’ai mal fait ou ce que je n’ai pas fait…

Moi à qui vous avez donné tant de plaisirs, tant de fois…cette jouissance inconnue jusqu’à aujourd’hui.

Je veux voir vos yeux, je veux lire dans votre regard … Je vais lécher encore votre anus, juste avant de retirer mon doigt… tout doucement…comme vous l’avez fait sur moi…c’était si exaltant et doux…

Votre rosette tressaille encore… Je n’avais que des tabous…je n’ai plus que des fantasmes…

J’ai l’impression… vous retenez mon doigt ? Est-ce votre envie ou un réflexe ? Ohhhhh… vous aussi alors… nous voici à égalité… Je vous aime pour votre pudeur…je vous aime pour votre abandon…

Retournez-vous…regardez-moi… voyez-moi heureuse par vous… Vos yeux, donnez moi vos yeux…

Prenez-moi dans vos bras… Oui… j’y suis tellement bien… Regardez mon doigt… Je le renifle… Je n’ai plus la moindre inhibition… Vous me faîtes tout voir comme la beauté de l’amour… Non, ne m’empêchez pas… Je veux garder les fragrances de votre anus… Je veux en goûter aussi les saveurs…

 

Vous me transportez, vous me transformez, vous m’avez fait naître Femme…Puissé-je rester votre muse, devenir votre fée… Dîtes-moi, vous, votre ressenti… Qu’ai-je mal fait pour ne pas vous avoir donné votre plaisir ? »

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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 11:10

L’egoïste :

« Petite égoïste… je croyais que tu voulais ‘’de ta bouche m’aimer et m’honorer’’… »

Deux bonnes claques ponctuent ce faux reproche.

« Encore une promesse en l’air … »

Est-ce l’effet de ces claques ? Sa respiration reprend lentement un rythme plus calme, son corps se détend, se fait plus lourd sur moi.

Elle remue, se redresse sur ses bras, le mouvement ouvrant à nouveau ses antres à mon regard, elle se retourne, toujours à quatre pattes, au dessus de moi.

Si un regard pouvait parler, qu’est-ce que le sien, à ce moment précis, me dirait ? Je ne sais pas, j’imagine, mais il est si intense qu’il m’émeut.

« Ne bouge pas, reste dans cette position, ne bouge pas d’un centimètre. »

Je me glisse, je m’extraie de ses jambes, je vais prendre mon téléphone dans la poche de mon short, je le rallume, c’est un modèle élaboré, doté d’un bon appareil photo ; je me place derrière elle, légèrement de côté, clic clac, je mémorise sa posture.

Je double la photo en me plaçant de l’autre côté.

Ses fesses ont pris une jolie couleur, grâce à mes claques, clic clac en plan large… D’un peu plus  près maintenant, le rouge se voit bien, contraste avec son anneau bistre que je distingue.

Je remonte à côté d’elle « Regarde-moi, garce égoïste », ses yeux sont d’un brillant incroyable, je prends son visage de mon appareil, je le pose, m’allonge sur le lit.

« Alors ? Dis-moi… »

Elle se réfugie dans mes bras, toute recroquevillée.

« Vos mains sont un supplice… un merveilleux supplice… »

Je ne dis rien, je la laisse exprimer ce qu’elle ressent, dans le désordre de ses sensations, à son rythme.

« Je ne vais pas pouvoir VOUS regarder... affronter votre regard... »

« Je vis depuis quarante ans. Mais la femme vit depuis douze heures, une quinzaine d’heures, en fait depuis que votre regard m’a capturée. »

Silence. Juste le bruit de nos respirations.

« Je suis, j’étais…oh, je ne sais plus… Je ne voulais surtout pas être égoïste… je vous ai déçu, une fois de plus… vous m’avez mis dans un état… je n’ai pas les mots…mon cerveau est anesthésié quand vous me caressez… je ne suis plus qu’un corps en ébullition… je ne voulais que votre plaisir, vraiment, je vous supplie de le croire, je ne sais, peut-être étais-je tellement obsédée par votre jouissance que j’en étais trop excitée… » 

Silence. Juste le murmure de ses larmes.

« Il y a une alchimie entre vous et moi, mystérieuse, insoupçonnable. Dès que vous me parlez, je vibre, dès que vous me touchez, je suis … en transes, dans ma tête, dans mon corps. Mais le pire, enfin pas le pire mais c’est pareil, dès que je commence à vous caresser, à vous embrasser, tout mon corps s’enflamme, mes seins ressentent des aiguilles, mon ventre se tord, mes fesses durcissent… Quand je caressais votre sexe, quand je le … branlais, quand je voyais apparaître votre gland, je mouillais, je sentais mon sexe béant, brûlant… »

Silence. Juste le son de sa main crispée sur ma poitrine.

« Vous demander encore pardon  me paraît inutile, vous n’allez pas me croire. »

« Je vous crois, idiote. »

Elle me regarde, ses yeux sont écarquillés, pleins d’un espoir inexprimable.

« Je suis mauvaise élève, grondez moi, punissez-moi, mais je vous en supplie, éduquez-moi doucement, fermement, laissez-moi encore un tout petit peu de temps pour apprendre, vous apprendre, pour apprendre à dominer mes émotions… Je vous promets, ce n’est pas une promesse en l’air, c’est mon désir intense, le plus intense, de satisfaire, en tout…et s’il advient que je faute encore, corrigez-moi, je vous offrirai mes larmes, ces larmes je les veux dans la jouissance de votre fierté. Et…et… je me dois de vous le dire, vous l’avouer… »

                                                        priere1

Nouveaux aveux :

« Que veux-tu m’avouer, petite garce ? »

« Quand vous avez claqué mes fesses, je ne sais pas si c’était pour me punir… mais… c’est fou…les premières claques étaient légères…puis plus fortes, … parmi tout ce que je ressentais par vos doigts qui distendaient mon vagin, je sentais mon cul me brûler, ce n’était pas vraiment une douleur mais une vague de sensations, un déferlement de plaisir qui décuplait ma jouissance… Aussi, je vous préviens, si vous deviez me punir,… il faudrait choisir un autre châtiment que la fessée … » 

« Bien, bien, je note… Je ne suis pas adepte des pratiques dites sado-maso, pas du tout… Les punitions mentales, celles qui investissent la cérébralité sont plus fortes, plus impliquantes… Mais puisque c’est vous, Ma Dame qui avouez votre plaisir à avoir reçu cette première fessée, je vous ferai remarquer qu’il est tout à fait déplacé, irrespectueux, voire inadmissible de se laisser aller à des réactions peut-être naturelles à d’autres moments, mais qu’il est tout à fait inconvenant de lâcher des pets au nez de l’homme qui caresse cet orifice… »

 

« Non, ce n’est pas vrai, je n’ai pas fait cela… vous plaisantez, vous exagérez…vous me faîtes enrager, ce n’est pas possible, jamais je n’aurais osé faire cela ! »

« Ma Dame, je vous prie de ne pas me faire l’injure de penser que je puisse mentir sur un tel sujet aussi important. Et pourtant, dans ma longue vie, j’en ai connu quelques uns, des fessiers féminins, j’en ai caressé quelques dizaines, des petits trous de femme. Jamais au grand jamais, une femme ne s’est livrée à une telle privauté, une telle incongruité… Je frémis à l’idée que vous auriez pu le faire quand je vous léchais… »

Son regard exprime l’incrédulité, elle se demande si c’est du lard ou du cochon, si je la provoque ou si je dis la vérité… Elle se met à rougir… mais vraiment rougir, en quelques secondes…

« Je n’y crois pas… j’ai fait çà ??? Je ne m’en suis pas rendu compte, ce n’est pas possible, là j’ai vraiment honte… je ne comprends pas comment … comment çà a pu se produire… »

« Petite péteuse, mes connaissances en la matière sont trop parcellaires pour que je vous fasse un cours sur les gaz humains ni sur la nature exacte des flatulences émises par votre anus… lesquelles flatulences n’ont rien à voir avec les bruits émis par votre anus lorsque je le titille assez longuement, qu’il se dilate jusqu’à s’ouvrir assez largement pour provoquer une espèce de mouvement d’air… »

                                          doigtfesses1 [Résolution de l'écran] (Copier)

Elle m’écoute, effarée… n’ose pas me regarder… Toujours enfouie au creux de mon épaule, le bras sur mon ventre. Je ne veux surtout pas qu’elle se sente humiliée…

 

« Je ne cesse de gaffer avec vous, j’accumule les maladresses… je suis humiliée d’être si… d’avoir été si inattentive à … ces bruits… En plus, ça ne m’arrive jamais, enfin presque jamais. »

« Bien sûr que si, cela t’arrive, ma puce ! Et à moi aussi. Plusieurs fois par jour. Nous produisons tous une quantité variable de gaz, en fonction de ce qu’on mange. Certains aliments nous en font produire plus. J’ai remarqué sur moi que les oignons (que j’adore !) ont un effet… éloquent ! Alors que l’ail, que j’adore aussi et qui est très recommandé pour le sang provoque des rots… mais le rot sort de l’estomac ! Dans certaines cultures, il est de bon ton de manifester son contentement en rotant après un bon repas. Et je crois que c’est du temps de l’empereur Claude qu’avait été édictée une loi autorisant le pet dans des banquets !

Ne sois pas honteuse plus que nécessaire… Finalement, c’est une réaction naturelle… N’est-ce pas un bon signe, au fond ? Cela veut dire que tu aimes énormément que mes doigts te fouillent l’anus…et cela a été ta façon…très cavalière… d’exprimer ton contentement !!! »

 

« Mon contentement ??? Tellement plus que cela…Vous ne m’en voulez pas ? Vous n’êtes pas fâché ni dégoûté ? Vraiment pas ?

« Tout à l’heure, quand nous sommes revenus ici, que je t’ai dit de me donner ta culotte, celle que tu avais portée durant le dîner, t’ai-je paru fâché ou dégoûté quand je découvris que tu avais taché ta culotte, et pas seulement le devant… Peut-être ne t’en es-tu pas rendu compte, quoique… j’en doute… mais si ton petit trou a laissé des traces, c’est que tu avais dû faire un pet, ou plusieurs… »

« Arrêtez… ne dîtes pas que j’ai… Moi qui veux tant vous abreuver de plaisirs, qui désire tellement que vous vous sentiez fier de celle que vous modelez… »

« Le mot est bien choisi, Valérie… De toi, je veux faire ma Galatée, celle que je modèle, celle à qui je donne vie… comme Pygmalion le fit jadis ! »

 

EMOTIONS :

« Vous me mettez dans un état d’émotion qui me fait perdre mes mots… Votre indulgence, votre compréhension… ce n’est pas normal chez un homme… normal ! Ne soyez pas faible avec moi, moi qui suis depuis des années et des années une femme indépendante, jalouse de son autonomie, qui s’assume… je ne comprends pas ce qui m’arrive, je ne comprends pas pourquoi, j’ai besoin de votre autorité, besoin de votre pouvoir. »

« Oser les gestes.

Oser les mots.

Les regards et les mots.

Jouer avec nous…

Mettre en musique nos mots,

En gestes, nos envies,

En chant infini,

Toutes nos folies.

A nos plus extrêmes audaces

Laissons toute la place

Que de ton âme l’ennui s’efface

Demande que sur toi je laisse ma trace. »

 

« Comment pouvez-vous inventer de tels mots ? Oh oui, je les aime vos mots, tous vos mots, y compris les gros mots, les mots forts, les mots qui bousculent… Oui, Vladimir, mon Pygmalion, osez, osez encore, osez m’imposer, osez me mettre en musique, osez toutes vos folies… Peut-être saurai-je alors, moi aussi, oser vous dire, oser faire… »

 

« Eh bien, commence maintenant ! Ose dire ce que tu as sur les lèvres.

Ose faire ce qui t’anime l’âme, le cœur et les sens. »

« Mes sens me brûlent, mon âme s’envole, mon cœur explose.

Je voudrais savoir…ce n’est pas curiosité malsaine… j’ai besoin de me situer, me trouver dans le dédale de toutes les femmes que vous avez connues… Vous aimez… leur donner la fessée ? Vous le faîtes à toutes ? et … heu … elles aiment cela ?»

« Oui, Valérie, j’aime cela ! Mais ne cherchez pas à vous ‘’situer’’…chacun-chacune est unique, chaque histoire amoureuse ou érotique est unique. Non, je ne leur donne pas systématiquement à toutes la fessée ! Cela deviendrait une espèce d’automatisme qui perdrait tout sens. La fessée comme bien d’autres jeux est, justement, un JEU. Et un jeu, par définition, se joue à deux. Ou à plusieurs, mais en l’occurrence, on est deux !!!

La fessée érotique, c’est une autre façon de faire l’amour, et j’ai horreur de cette expression… je fais la cuisine, je fais des courses, ou le ménage mais je ne fais pas l’amour. Le postérieur est une zone éminemment érogène.

Et puis, il y a évidemment toute la symbolique…sorte de soumission désirée. Pour moi la croupe est la plus belle partie du corps de la femme. Je ne me lasserai jamais de contempler ces sensuelles courbes, ces monts qui se bombent, ces vallées qui convergent en une unique et mystérieuse crevasse encadrée de ces deux hémisphères qui, réunies, forment une coupole…moins académique que celle du quai Conti mais o combien plus alléchante ! Et quoi de plus voluptueux contrepoint à cette douceur que la fermeté d'une claque donnée de la main ?

Recevoir la fessée, c'est s'abandonner totalement à un partenaire en qui en a confiance (ohé, je te précise, Valérie, que LE partenaire, en l'occurrence, c'est MOI!). La donner c'est pouvoir observer toutes les réactions de celle qui se livre, en ayant beaucoup de tendresse pour cette croupe ainsi offerte qui s'anime alors comme un visage. La face cachée remonte à la surface et est amenée, avec un mélange de douceur et de fermeté, à s'exprimer totalement.

Il y a, bien sûr, une autre forme de fessée, qu’on pourrait appeler ‘’punitive’’, qui demeure évidemment érotique entre deux adultes, mais qui se double d’un aspect plus … affirmé, qui souligne la faute commise et sert aussi à celle qui la reçoit à s’améliorer. »

« C’est fou comme vous pouvez parler joliment, clairement, de choses pas évidentes ! J’aime ce que vous dîtes sur la fessée. Vous avez aimé claquer mes fesses ? Vous ne m’avez pas dit, les autres, elles aiment çà ? »

 

« Qu’importent les autres ? Cela change quoi ? … Oui, si tu veux absolument le savoir, certaines ont aimé… »

« Et, heu…est-ce que …non, rien, cela ne me regarde pas… Enfin… si, s’il vous plaît… vous donnez la fessée à votre femme ? Vous fessez d’autres femmes, vos amantes ?»

« Je n’ai jamais fessé mon épouse. Et je viens de te dire que j’ai fessé certaines de mes amies, amantes… »

« Mais…en ce moment… ? Une femme a-t-elle droit à vos …faveurs ? »

« Oui, bien entendu. »

« Ah… et elle est heureuse ? »

« Je ne sais pas. Moi, je suis heureux. Elle…tu n’as qu’à lui demander. Appelle-la. »

« Vous vous moquez encore de moi ! Je ne veux pas lui parler, jamais ! »

Je devine tellement bien ce qui la taraude… Elle est entrée dans une phase d’extrême sensibilité mentale ; elle se confronte toute seule à un passé qu’elle ignore, dans les affres de son ignorance, de son inexpérience, malgré elle, elle se compare à d’autres, à de supposées autres femmes, qu’elle voit comme des rivales. Je suis certain qu’elle nierait être jalouse et elle serait sincère. Mais elle l’est bel et bien.

« Pourquoi me faîtes-vous souffrir en vous moquant ? »

« Pas du tout. Donne-moi ton numéro, je vais l’appeler et te la passer… Donne-moi ton numéro, idiote.»

Sur l’instant, elle ne comprend pas… puis son cerveau décrypte plus mon regard que les mots.

« Vous… vous… oh, vous… vous me faîtes passer par des moments… terribles… Vous … il m’en faudrait tellement peu pour que je … »

« Pour que quoi ? »

« Rien… pour que … pour que, à mon tour, je vous donne une fessée. »

J’éclate de rire ! « Bien sûr que non, tu esquives… tu en es incapable. Pour que quoi ? Réponds. »

Chaque fois que quelque chose l’émeut, j’ai remarqué que chaque fois qu’elle est sous l’emprise d’une émotion très forte, elle respire très fort, profondément…

« Il m’en faudrait si peu pour … que je tombe … amoureuse de vous … »

« Menteuse. »

« Je ne vous mens pas. Vous doutez toujours de ce que je dis. »

« Non, pas toujours… Mais tu t’exprimes mal… Réfléchis… N’est-il pas vrai… ? »

« Oui… »

« Oui quoi ? Dis-le donc puisque çà te brûle les lèvres. »

« Oui, … c’est vrai… il ne m’en faudrait pas tant… Je suis… amoureuse de vous…Vous que je ne connaissais pas ce matin. »

« Prouve le, témoigne de ton attirance, de ton attachement, montre-moi comment tu es amoureuse. »

Comme ses yeux s’illuminent chaque fois que l’émotion la saisit et l’empêche de parler sur le moment… !

 

Son sourire l’illumine autant qu’il irradie en moi une douce vague. Elle se redresse, à genoux sur le lit, à côté de moi.

                                                                          beaute (Copier)


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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 09:40

Quand tu vivras ce que je connais,

Quand tu découvriras ce qui te fait souffrir,

Quand tu souffriras ce que tu désires,

Tu te rapprocheras de Toi.

Mais je suis de verre quand tu es diamant.

Et se ferment tes yeux quand s’ouvrent mes bras,

Et s’ouvre l’abîme si se ferme ton cœur

.coquelicot 52

Je voudrais te sentir fontaine, source sucrée, ma langue t'envahissant, ma bouche avalant ton nectar.

Et je rêve aussi que tu te cambres durement sous l’assaut de mes doigts qui jouissent de ton vagin et de ton anus qui m’imploreraient d’y éjaculer.

Au gré de mes fantasmes, sentir que tu te sens femme audacieuse, impudique Salope, femme sous mon corps, femme sur mon corps, femme vraiment femme… ce que, pour moi, tu es, Goloubka.

Je voudrais que ton corps, ton cœur et ta tête prennent conscience du plaisir que te donnent mes mots, éventail de sentiments, amalgame des pensées et du désir charnel.

Mon cœur se met à nu devant toi mais se couvre des mots d’amour que je cache derrière une étonnante pudeur, pudeur peut-être encore plus intense que celle que j’éprouverais si par une pulsion coquine tu me mettais devant toi fesses ouvertes..

Je voudrais que le parfum de mes mots t’ensorcelle, je me prends à rêver, j’ai l’impression d’avoir des ailes… mais je connais l’histoire d’Icare… !!!

Ouvre mon pantalon. Remonte ta jupe…oh, te l’aurais-je laissée? Pas besoin de poser ta culotte toute blanche et décorée…, laisse moi m’en occuper…

                                                          deculottee1

Je vais écarter… je rêve que ce soit humide à souhait ! Oui, je sais, je rêve beaucoup…tu m’as déjà reproché d’être plus fantasmatique par écrit, cérébralement…

Mon doigt se glissera. Seras-tu déjà « prête » ? Tu as envie aussi… ? Ton parfum. Ta tête sur mon épaule, ta main sur ma cuisse.

Tes sourires. Ta voix… Guide ma main sur toi, en toi. J’entre… Fort. Puissant. A fond. Tu me mordilles le cou. Envie de crier ? Vas-y !

Personne ne nous entendra…

Laisse-moi… continue ta lecture… non, ne me touche pas…il y a longtemps que tu m’as « touché » jusqu’au fond de moi…

A tendres petits pas de Toi je m’approche,

Léger, bondissant, mon esprit t’environne,

T’apaise, t’exhorte, te soutient , te console.

Le temps tue le temps mais la vie est une valse à mille temps Dont tous les temps sont confondus en un temps

Quand le temps de la vie est le temps de l’amour.

Trouvons le temps d’accorder nos temps

Pour que le temps de Notre temps Dure le temps du Plaisir.

Et après te l’avoir dit de vive voix, je confirme, Ma Muse… Je te câlinerai autant que te bousculerai,

Car tous les temps se glissent dans le même temps,

Je te tendresserai aussi souvent que te fesserai,

Car le temps de ton besoin est celui de mes désirs.

Mes doigts iront et viendront en toi, ma langue en est jalouse.

Je voudrais sentir la fulgurance de Ton plaisir traverser mes reins. Je me collerai à toi. Mon pubis contre tes fesses.

Oh, oui, il faut que je prenne leur périmètre… Tu cries ?

Non… tais-toi… Tu as faim ? Ce que tu aimes t’attend…

Mes doigts t’abandonneront lentement. A regrets.

J’aurai envie de sentir ta chatte. Ses odeurs intimes.

Son parfum de cyprine. Ton odeur de femelle.

Te lèverai-je les gambettes un peu plus pour accéder à ton antre ? Tu me laisseras m’enivrer des fragrances de ton anus et goûter à ses saveurs…

Pourquoi suis-je si souvent ému par ton cul ???

Pourquoi ai-je si souvent envie de le renifler, le lécher ??? Je déposerai un baiser sur tes lèvres.

Seras-tu trempée ? Frémiras-tu quand le baiser vibrera sur ton clitoris ?

Tes mains fourrageront-elles dans mes cheveux. C’est fort. Félin et doux à la fois.

Je me collerai vraiment à tes lèvres.

Je voudrais sentir dans ma bouche couler tes sucs. Je me relèverai peut-être lentement, tu te glisseras à genoux.

Tu retourneras mon boxer…

Tu prendras ma verge dans ta bouche ???

Ou bien, soudainement inspirée par une envie provocatrice, me diras-tu de me retourner et de me mettre à genoux ?Quand tu vivras ce que je connais,

Quand tu découvriras ce qui te fait souffrir,

Quand tu souffriras ce que tu désires,

Tu te rapprocheras de Toi.

Mais je suis de verre quand tu es diamant.

Et se ferment tes yeux quand s’ouvrent mes bras,

Et s’ouvre l’abîme si se ferme ton cœur.

Je voudrais te sentir fontaine, source sucrée, ma langue t'envahissant, ma bouche avalant ton nectar.

Et je rêve aussi que tu te cambres durement sous l’assaut de mes doigts qui jouissent de ton vagin et de ton anus qui m’imploreraient d’y éjaculer.

Au gré de mes fantasmes, sentir que tu te sens femme audacieuse, impudique Salope, femme sous mon corps, femme sur mon corps, femme vraiment femme… ce que, pour moi, tu es, Goloubka.

Je voudrais que ton corps, ton cœur et ta tête prennent conscience du plaisir que te donnent mes mots, éventail de sentiments, amalgame des pensées et du désir charnel.

Mon cœur se met à nu devant toi mais se couvre des mots d’amour que je cache derrière une étonnante pudeur, pudeur peut-être encore plus intense que celle que j’éprouverais si par une pulsion coquine tu me mettais devant toi fesses ouvertes..

Je voudrais que le parfum de mes mots t’ensorcelle, je me prends à rêver, j’ai l’impression d’avoir des ailes… mais je connais l’histoire d’Icare… !!!

Ouvre mon pantalon. Remonte ta jupe…oh, te l’aurais-je laissée? Pas besoin de poser ta culotte toute blanche et décorée…, laisse moi m’en occuper…

Je vais écarter… je rêve que ce soit humide à souhait ! Oui, je sais, je rêve beaucoup…tu m’as déjà reproché d’être plus fantasmatique par écrit, cérébralement…

Mon doigt se glissera. Seras-tu déjà « prête » ? Tu as envie aussi… ? Ton parfum. Ta tête sur mon épaule, ta main sur ma cuisse.

Tes sourires. Ta voix… Guide ma main sur toi, en toi. J’entre… Fort. Puissant. A fond. Tu me mordilles le cou. Envie de crier ? Vas-y !

Personne ne nous entendra…

Laisse-moi… continue ta lecture… non, ne me touche pas…il y a longtemps que tu m’as « touché » jusqu’au fond de moi…

A tendres petits pas de Toi je m’approche,

Léger, bondissant, mon esprit t’environne,

T’apaise, t’exhorte, te soutient , te console.

Le temps tue le temps mais la vie est une valse à mille temps Dont tous les temps sont confondus en un temps

Quand le temps de la vie est le temps de l’amour.

Trouvons le temps d’accorder nos temps

Pour que le temps de Notre temps Dure le temps du Plaisir.

Et après te l’avoir dit de vive voix, je confirme, Ma Muse… Je te câlinerai autant que te bousculerai,

Car tous les temps se glissent dans le même temps,

Je te tendresserai aussi souvent que te fesserai,

Car le temps de ton besoin est celui de mes désirs.

Mes doigts iront et viendront en toi, ma langue en est jalouse.

Je voudrais sentir la fulgurance de Ton plaisir traverser mes reins. Je me collerai à toi. Mon pubis contre tes fesses.

Oh, oui, il faut que je prenne leur périmètre… Tu cries ?

Non… tais-toi… Tu as faim ? Ce que tu aimes t’attend…

Mes doigts t’abandonneront lentement. A regrets.

J’aurai envie de sentir ta chatte. Ses odeurs intimes.

Son parfum de cyprine. Ton odeur de femelle.

Te lèverai-je les gambettes un peu plus pour accéder à ton antre ? Tu me laisseras m’enivrer des fragrances de ton anus et goûter à ses saveurs…

Pourquoi suis-je si souvent ému par ton cul ???

Pourquoi ai-je si souvent envie de le renifler, le lécher ??? Je déposerai un baiser sur tes lèvres.

Seras-tu trempée ? Frémiras-tu quand le baiser vibrera sur ton clitoris ?

Tes mains fourrageront-elles dans mes cheveux. C’est fort. Félin et doux à la fois.

Je me collerai vraiment à tes lèvres.

Je voudrais sentir dans ma bouche couler tes sucs. Je me relèverai peut-être lentement, tu te glisseras à genoux.

Tu retourneras mon boxer…

Tu prendras ma verge dans ta bouche ???

Ou bien, soudainement inspirée par une envie provocatrice, me diras-tu de me retourner et de me mettre à genoux ?

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